Des CRS lors de la manifestation des « gilets jaunes », à Paris, le 1er mai. BENJAMIN GIRETTE POUR "LE MONDE"

« J’ai mis la cartouche, j’ai vu un manifestant, j’ai visé la tête et j’ai tiré, sans raison »

« Je ne l’excuse pas, mais je comprends le craquage » : les policiers face à leur propre violence
L’exécutif nie l’existence même de brutalités policières lors des manifestations des « gilets jaunes » et leur demande désormais d’aller davantage au « contact », au risque de dégrader encore la situation.

Cliquez sur suivant pour lire l’article complet





Suivant



Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *