Christophe Castaner est sur le gril. Il a subi mardi 19 mars les critiques de l’opposition, voire les appels à la démission. Mais à l’Assemblée nationale comme au Sénat, le ministre de l’Intérieur n’a pas endossé la responsabilité des violences de l’acte 18 des « gilets jaunes » à Paris.
Christophe Castaner a été hué par une partie de l’Assemblée nationale mardi 19 mars. La raison ? Les violences en marge de l’acte 18 des « gilets jaunes » il y a trois jours à Paris. Trois hauts responsables ont depuis été écartés, mais pour les députés, c’est le ministre de l’Intérieur qui est responsable.
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