La France aura mis un peu plus d’un mois pour répondre de manière argumentée aux accusations de violences policières portées par l’ONU. En mars dernier, Michelle Bachelet, la haut-commissaire des Nations unies aux droits de l’homme, avait demandé que l’Hexagone enquête « urgemment » sur « tous les cas rapportés d’usage excessif de la force ».
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