An illustration picture shows a French National Police insignia on the uniform of an officer who stands near parked cars outside the Police Headquarters in Bordeaux, France, February 8, 2016. REUTERS/Regis Duvignau

Fusillade à Paris : une figure du grand banditisme tuée

IMAGES  – Une série de coups de feu s’est produite hier, matin dans le secteur parisien des Champs-Élysées. Deux personnes ont été gravement, dont un des services policiers. Un d’entre eux est déjà mort. La piste d’un règlement de comptes est privilégiée.

Deux personnes ont été sévèrement touchées par balles, dimanche matin, dans l’avenue George-V (VIIIe arrondissement) aux  Champs-Élysées. Les victimes ont été visée par des assaillants se promenant en moto, a expliqué la Préfecture de police (PP). L’une des victimes est un poids lourd du grand banditisme, EX braqueur Sophiane Hamli, ancien complice de Redoine Faid.

Les événements se sont déroulés aux environs de 6 heures du matin. Sophiane H, réputé pour de nombreux braquages, a été atteint d’une multitude de balles tandis qu’il était dans son véhicule de marque Smart avec une autre personne. Cette dernière est très gravement blessé.

Les deux cliniques « la Pitié Salpêtrière », à Paris, et « Percy », à Clamart, ont pris en charge les deux individus . A la suite des premières pistes de cette affaire confiée à la brigade criminelle des forces de l’ordre judiciaire parisienne, la théorie du règlement de comptes est privilégiée.

Les assaillants en cavale

En effet, Sophiane H. ainsi que son accompagnant ont été ciblé par deux personnes se baladant sur une moto, a indiqué la préfecture de police. Des conséquences de balles ont été relevés sur la voiture. Des détonations en série ont été entendues par des passants inspectés par les forces de l’ordre. Les deux assaillants ont pris la fuite.

Âgé de 43 ans, Sophiane H. a été accusé par la police d’une plusieurs de vols munis d’armes et de braquages de utilitaires blindés dans les années 1990 et 2000. Suite à de nombreuses années de fuite, il avait été stoppé par les forces de l’ordre en 2004. L’année dernière, il avait été reconnu innocent par la cour d’assises de la capitale. Il était accusé pour’agression d’un fourgon blindé de la Brink’s perpétré au mois de mai 2002 en Seine-et-Marne. Entre autres, deux personnes de l’entourage d’Antonio Ferrara ont été sanctionnés. Sans rarement avoir pu l’établir avec certitude, Sophiane H. a été suspecté par les forces de l’ordre d’être la personne organisatrice fondamental de l’incroyable « belle » de la maison d’arrêt de Fresnes, près de la capitale Paris, d’Antonio Ferrara le 12 mars 2003.