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Le Tweet a fait naitre plusieurs messages d’insultes et des commentaires de menaces de la part des internautes qui ont dénoncé un manque de respect vis-à-vis du pèlerinage et de la religion musulmane.
Face aux menaces visant le jeune garçon qui avait twitté la blague sur la Mecque et sur le pèlerinage, Marlène Schiappa, la secrétaire d’Etat à l’égalité entre les femmes et les hommes, a réagi ce Dimanche 14 Avril.
« La France est une République laïque, où chacun peut critiquer et se moquer des religions sans être menacé de mort pour cela !, a écrit Marlène Schiappa sur Twitter. Le blasphème n’existe pas. En revanche, le cyberharcèlement en meute est puni depuis cet été par la loi ».
Un adolescent publié sur le réseau social Twitter une photo du pèlerinage accompagnée d’une phrase, « Ptdr y’a du monde à InZeBoite ». Selon le Parisien, InZeBoite est un jeu télévisé diffusé sur la chaîne Gulli. Le principe du jeu est que deux groupes se mettent en concurrence et les vainqueurs se frottent par la suite à la boite noire, un labyrinthe le lequel ils doivent progresser.
Pour ceux qui se demandent ce que fout le HT #JeSoutienHugo #JeSoutiensHugo en TT
C'est au sujet du twittos @Hug_pat, un ado menacé après avoir twitté ceci : pic.twitter.com/0zomswmyBP— Fallait Pas Supprimer 📸 (@FallaitPasSuppr) April 14, 2019
« Laissez-moi en vie »
La publication du jeune garçon qui se présente sur Twitter comme Hugo, a suscité plusieurs insultes et menaces sur les réseaux sociaux. Pour plusieurs internautes, sa blague était mal placée et présentait un manque de respect vis-à-vis des musulmans et de la religion musulmane. Certains ont même voulu s’en prendre d’une manière physique à l’adolescent à son école mais aussi à son domicile. Afin de défendre, Hugo a publié Dimanche matin le message suivant : Jamais voulu offenser quelqu’un.
Il s’est également excusé en disant que son intention n’a jamais été de blesser quelqu’un et qu’il ne croyait pas que ça allait prendre autant d’ampleur. Il a aussi demandé de le laisser en vie.
Plusieurs utilisateurs Twitter ont défendu Hugo avec le hashtag #JeSoutiensHugo.